Une proposition inédite pour transformer le projet de corrida à Seissan en happy end !

François Rivière, maire de la petite ville de Seissan dans le Gers (1000 habitants), tente depuis 10 ans d’introduire la corrida avec mise à mort dans sa ville.
Cette fois, il semblerait qu’il n’ait pas hésité à prendre SEUL la décision, engageant les finances publiques de sa commune sans solliciter au préalable le vote pourtant indispensable des membres du conseil municipal, qui ont découvert l’irrégularité a posteriori.

Depuis, François Rivière est aux abonnés absents.
Malgré ses nombreux appels à la mairie de Seissan, l’association GRAAL n’a jamais pu échanger avec le maire ou avec son 1er adjoint.

Bien connu en France pour son action en faveur des animaux de laboratoire dont il organise la retraite auprès des unités de recherche publiques et privées, LE GRAAL s’adresse aujourd’hui à tous les conseillers municipaux de la ville de Seissan.

De façon tout à fait INÉDITE en France et quoi qu’il lui en coûte, LE GRAAL :

  • Demande la grâce des 2 jeunes taureaux
  • Propose leur rachat à la mairie de Seissan (qui hésiterait encore aujourd’hui, une fois mis à mort, entre l’abattoir et l’équarrisseur selon les coûts)
  • Organise leur retraite à vie grâce au zoo-refuge de La TANIÈRE qui les attend à bras ouverts ! Ce geste symbolique est également une 1ère en France. Le GRAAL remercie Patrick et Francine Violas, les dirigeants du refuge de la Tanière

Pour Marie-Françoise Lheureux « Seissan ne doit pas devenir une ville de sang. Les enfants, pour lesquels la corrida serait gratuite ne doivent pas subir le traumatisme de voir des animaux torturés pour le plaisir de quelques-uns. Une alternative existe : un spectacle taurin sans mise à mort. Le GRAAL se tient à l’écoute de la ville de Seissan ».

Vous aussi, agissez ! Signez notre pétition et/ou adressez un mail à la mairie de Seissan. 

Contact GRAAL :
Marie Françoise LHEUREUX, présidente fondatrice
contact@graal-defenseanimale.org

Découvrez également l’article de presse visible sur le journal La Dépêche qui parle de notre combat.